Plus d'un Haut-Savoyard sur cinq travaille en Suisse
Frontalier Haute Savoie : Auvergne-Rhône-Alpes est la région « qui compte le plus de travailleurs frontaliers après le Grand Est », selon l'INSEE. Ses habitants sont notamment attirés par la forte attractivité de l'économie suisse.

La forte attractivité de l'économie helvétique attire de plus en plus de travailleurs frontaliers habitant la région Auvergne-Rhône-Alpes, indique l'Insee en évoquant pèle-mêle un PIB par habitant supérieur à celui de la France, des niveaux de salaires parmi les plus élevés au monde, le caractère majoritairement francophone de l'ouest de la Suisse et un droit du travail relativement souple.
« Du fait de son attractivité et de sa proximité, le canton de Genève concentre d'ailleurs 84 % des frontaliers qui habitent la région », constate encore l'Insee en précisant que, plus d'un Haut-Savoyard sur cinq exerçait son activité professionnelle en Suisse.
A l'échelle de la région, Auvergne-Rhône-Alpes est le territoire « qui compte le plus de travailleurs frontaliers après le Grand Est », note aussi l'institution. Le nombre de travailleurs frontaliers y a plus que doublé entre 1999 et l'année dernière, passant d'un peu plus de 53'000 à 115'000, selon les chiffres de l'Insee.
400'000 travailleurs transfrontaliers en France
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Suisse: les salaires les plus élevés d’Europe
Suisse: les salaires les plus élevés d'Europe
Salaires Suisse: Les rémunérations versées en Suisse sont les plus élevées en Europe, selon une étude de l'Office fédéral de la statistique. L'année dernière, un employé à temps plein dans le secteur industriel ou les services disposait en moyenne d'un salaire brut annuel converti de 73'549 euros, soit 13,8 fois plus que celui versé à un salarié bulgare.

Les salaires en Suisse occupaient ainsi le premier rang devant la Norvège (55'370 euros) et le Danemark (51'485 euros), a indiqué l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans sa publication "Indicateurs du marché du travail". Les rémunérations les plus basses (salaires en Europe) parmi les 15 plus anciens membres de l'Union européenne (UE) étaient versées au Portugal (17'193 euros), en Grèce (25'696 euros) et en Espagne (26'621 euros). En tenant compte des pays ayant adhéré à l'UE depuis 2004, la Roumanie (6'048 euros) et la Bulgarie (4'618 euros) ferment la marche.

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Toutefois, relève l'OFS, le niveau du salaire annuel brut moyen suisse est aussi influencé par la vigueur du franc suisse. Afin de comparer des salaires qui traduisent de manière réelle leur pouvoir d'achat, les rémunérations exprimées en monnaie nationale doivent être converties en une devise commune virtuelle appelée "standard de pouvoir d'achat (SPA)".
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Les écoles hôtelières Suisses parmi les meilleures du monde
Les écoles hôtelières Suisses parmi les meilleures du monde
Ecole hôtelière Suisse : Pour la cinquième année consécutive, la Swiss Hotel Management School (SHMS) conserve sa 4e place au classement des dix meilleures écoles en gestion hôtelière du monde, dans la catégorie ‘’Hospitality and Leisure Management’’ du QS Rankings. Les autres écoles du groupe se placent également dans le top 10, avec une progression importante: Hotel Institute Montreux (HIM) est 6e, César Ritz Colleges Switzerland (CRCS) 7e, Culinary Arts Academy Switzerland (CAAS) 8e et International Hotel of Tourisme and Training Institute (IHTTI) 10e.

Des enseignements de grande qualité
Cette performance reflète le haut niveau de compétence du corps enseignant ainsi que la grande qualité des programmes d’enseignement de chaque école. Fort de près de 40 ans d’expérience dans la gestion hôtelière et l’enseignement des arts culinaires, et ancré dans la tradition des meilleures pratiques helvétiques, le groupe Swiss Education (SEG) offre un large éventail de programmes d’enseignement supérieur (diplômes, bachelors, masters, MBA). Grâce à des partenariats noués au sein du secteur académique mais aussi avec des acteurs clés de l’industrie, les écoles de Swiss Education Group proposent des programmes d’études très pertinents, mettant l’accent sur l’employabilité et le développement personnel des étudiants. Des courts certificats professionnels aux masters, les étudiants peuvent choisir un programme qui correspond à leurs besoins et intérêts d’apprentissage individuels. Le groupe bénéficie également d’un puissant réseau d’alumni à travers le monde, construit au fil des ans.
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Nespresso investit 117 millions de CHF en Suisse
Nespresso investit 117 millions de francs pour agrandir une de ses usines en Suisse
Nespresso Suisse : La marque phare dans le café du géant suisse de l'alimentation Nestlé, va investir 117 millions de francs suisses (105 millions d'euros) pour agrandir son usine à Avenches, en Suisse.

Pour répondre à la demande, le groupe suisse compte mettre en place trois nouvelles lignes de production et agrandir encore ce centre de distribution et de logistique d'où partent ses dosettes vers plus de 80 pays, a-t-il indiqué dans un communiqué.
L'usine d'Avenches, dans le canton suisse de Vaud, est le centre de distribution global de la marque représentée par l'acteur américain George Clooney.
Ouverte en 2008, l'usine dans laquelle le groupe avait initialement investi 300 millions de francs suisses avait déjà été agrandie une première fois, avec des travaux qui avaient débuté deux ans après son entrée en service. Le groupe suisse avait déjà investi 200 millions de francs supplémentairement.
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Étudier en Suisse coûte environ 30’000 francs par an
Étudier en Suisse coûte environ 30'000 francs par an
Etudier en Suisse : Contre toute attente, les frais de scolarité ne sont pas forcément très élevés pour quelqu'un qui voudrait étudier en Suisse.

Etudier en Suisse
En effet, ils sont plafonnés pour les étudiants internationaux. Lors de l’envoi de sa candidature, il faut s’acquitter d’une taxe d’inscription. Les taxes d’études (frais de scolarité) dans une haute école universitaire vont de 500 à 2 000 francs suisses par semestre, mais elles peuvent dépasser ce plafond, en particulier dans la partie italophone de la Confédération. Il convient aussi de payer une contribution à l’enseignement (livres, sport…). La Suisse accepte la carte d’assurance maladie européenne, une assurance complémentaire peut toutefois s’ajouter, à vérifier.
Dans les 14 jours qui suivent son arrivée, il faut demander un permis de séjour auprès de l’autorité municipale, le mieux étant de s’en occuper dès que l’on connaît son adresse en Suisse. Par contre, la vie sur place est plus chère qu’en France. Comptez ainsi 900 francs suisses par mois pour un studio dans une résidence étudiante près de l’EPFL à Lausanne. Au total, il faut compter entre 21'000 et 30'000 francs suisses par an pour vivre et étudier en Suisse.
Procédure à suivre
Le site Internet www.studyinginswitzerland.ch propose des informations en anglais pour les étudiants désirant poursuivre leurs études en Suisse, ainsi que pour les universités à la recherche de partenaires de coopération. Le site www.swissuniversities.ch fournit également de nombreuses informations dans les langues nationales suisses, notamment concernant les conditions d’admission par pays.
Obtenir une bourse Suisse
Pour les étudiants français établis en Suisse, l'octroi d'une aide à la formation (bourses d'études ou prêts) relève des cantons. Chaque canton détermine, en vertu de sa propre législation, les conditions d'octroi d'une bourse ou d'un prêt pour des études en Suisse ou à l'étranger.
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La Suisse cherche à attirer les cerveaux dans ses universités
La Suisse cherche à attirer les cerveaux dans ses universités
Université en Suisse : Le pays accueille des étudiants du monde entier en plafonnant ses frais de scolarité. Mais écoles et universités ont un haut niveau d’exigence.

La Suisse a la cote auprès des étudiants internationaux. Selon la dernière étude de Campus France, ce pays d’un peu plus de 8,6 millions d’habitants a accueilli plus de 53'000 étudiants étrangers l'année dernière venus principalement du Royaume-Uni, d’Allemagne, de France (10'162 Français) et des États-Unis. La Suisse arrive en 4e position des pays où vont étudier les Français. L’innovation et la recherche sont des priorités dans son enseignement supérieur. Comme le précise Campus France: «La Suisse, à contre-courant des pays qui voient les étudiants internationaux comme vecteurs d’augmentation de revenus pour les établissements, a adopté une stratégie centrée sur la recherche et la “brain circulation”, la circulation des cerveaux.» Et si depuis 2014, elle ne fait plus partie du programme Erasmus, elle a mis en place une solution transitoire appelée Swiss-European Mobility Programme (SEMP) pour faciliter l’arrivée d’étudiants étrangers.
Une sélection forte à l’entrée des universités
Écoles et universités ont donc un haut niveau d’exigence. La confédération distingue trois types d’établissements. Les hautes écoles universitaires avec 10 universités cantonales regroupant facultés et instituts, plus deux écoles polytechniques fédérales, l’EPF de Lausanne (EPFL) et l’ETH de Zürich, (ETHZ). Les hautes écoles spécialisées, quant à elles, sont orientées par domaines: santé, architecture, technologie, hôtellerie-restauration, domaine artistique… Huit sont publiques, une privée. Ainsi l’École hôtelière de Lausanne (privée), numéro un des écoles de management hôtelier dans le monde, est affiliée à la HES de Suisse occidentale. Les hautes écoles pédagogiques forment, elles, des enseignants du secondaire.
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Doublement des travailleurs frontaliers en 17 ans
Doublement des travailleurs frontaliers en 17 ans
Travailleurs frontaliers : De plus en plus de travailleurs frontaliers en Auvergne-Rhône-Alpes, c'est le constat dressé par l'Insee dans une étude. Habitant pour la plupart dans l'Ain et la Haute-Savoie, leur nombre a plus que doublé en 17 ans.

La Suisse attire
La Suisse attire de plus en plus d'actifs vivant en Auvergne-Rhône-Alpes. Entre 1999 et l'année dernière, le nombre de travailleurs frontaliers a plus que doublé : 115'000 habitants de la région occupent à ce jour un emploi de l'autre côté de la frontière. Ils étaient 53'000 il y a 17 ans, selon les chiffres publiés par l'Insee.
"Auvergne-Rhône-Alpes est la région qui compte le plus de travailleurs frontaliers après le Grand Est", rapporte l'Institut national des statistiques et des études économiques. Avec près de 400 kilomètres de frontières terrestres avec l'étranger, Auvergne-Rhône-Alpes comptait, en 2016, 30% des frontaliers de France contre 43% pour le Grand Est - 169'000 travailleurs étaient employés principalement au Luxembourg et en Allemagne.
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La Suisse reste compétitive au niveau des taxes
La Suisse reste compétitive au niveau des taxes
Impôts en Suisse : La compétitivité de la Suisse au niveau de la fiscalité est bonne. Grâce à la réforme de l'imposition des entreprises, le taux s'est réduit l'année dernière, de sorte que le pays est bien positionné en comparaison internationale, selon une étude de KPMG.

En moyenne, les taux d'imposition ont diminué d'environ deux points de pourcentage, passant de 17,1 à 15,1%. Ce repli est à mettre sur le compte de la réforme sur l'imposition des entreprises, expliquent les auteurs du Swiss Tax Report, qui compare 130 pays, dont la Suisse et ses 26 cantons. Le canton de Genève a ainsi fait passer son taux de 24% à 14% et celui de Fribourg de 20% à 14% dans le contexte de cette réforme.
Lorsque KPMG a lancé la première édition de son étude, le taux d'imposition en Suisse se situait aux alentours de 20%, précise le cabinet d'audit.
De faibles taux d'imposition ne suffisent toutefois pas à garantir la compétitivité fiscale d'un pays sur le long terme, dans la mesure où d'autres facteurs entrent en compte, d'autant plus dans le contexte du projet BEPS de l'OCDE et du G20. Ces nouvelles règles visent à lutter contre l'évasion fiscale en taxant les profits à l'endroit où ceux-ci sont générés.
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Immigration en Suisse: Main d’oeuvre flexible..
Immigration en Suisse: Main d'oeuvre flexible..
Immigration en Suisse : La main-d’œuvre immigrée contribue à la flexibilité du marché du travail, note un rapport du SECO. Elle exerce plus souvent une activité temporaire et travaille plus souvent de nuit ou le soir que la population suisse.

Le rapport ne constate aucune répercussion négative sur l’évolution salariale de la population indigène. Entre 2008 et l'année dernière, le salaire médian des Suisses a crû de 0,8%. Il se situe ainsi à 6'873 francs, soit de 5,1% supérieur au salaire médian de tous les salariés pris ensemble.
Une évolution saluée par les syndicats, qui mettent en avant les mesures d’accompagnement. Grâce à elles, les salaires bas et moyens ont davantage progressé en Suisse qu’en Allemagne par exemple, a relevé le chef économiste à l'Union syndicale suisse. La pression sur les salaires et l’expansion des emplois précaires et à bas salaires sont freinées.
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La libre circulation est bénéfique pour la Suisse
La libre circulation est bénéfique pour la Suisse
Libre circulation en Suisse : Le Secrétariat d’État à l’économie estime que l’ immigration en Suisse a un effet positif dans le pays, notamment grâce à la contribution des ressortissants étrangers au financement des rentes du 1er pilier.

L’immigration issue de pays européens s’est maintenue à un niveau historiquement bas l'année dernière. La demande de main-d’oeuvre est restée stable. La libre circulation continue à avoir des effets positifs sur le marché du travail en Suisse, selon un rapport du SECO.
L’an dernier, le solde migratoire des ressortissants de l’UE et de l’AELE a très légèrement diminué pour s’inscrire à 30’700 personnes (-500).
Comparé à 2013, année record avec l’arrivée nette de 68’000 personnes de pays de l’UE et de l’AELE, le recul est de 55%, relève le 16e rapport de l’Observatoire sur la libre circulation des personnes publié par le Secrétariat d’État à l’économie (SECO). S’agissant des États tiers, l’immigration nette a reculé de 2'700, à 20’800 personnes l'année dernière.

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Prospérité Suisse en jeu
L’accord sur la libre circulation contribue de manière significative à la croissance de l’économie helvétique et à la prospérité de la population, a déclaré la secrétaire d’État à l’économie devant la presse. Il crée aussi une certaine dépendance, a-t-elle reconnu. Mais cette dépendance est inévitable dans le monde globalisé actuel.
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